St Etienne
de Serbie

Ste Macrine

St Païsios
de Kiev

St Roman
de Riazan

St Séraphim
de Sarov

Saint Roman (Olegovich) de Ryazan

Sainte Macrine et de ses quatre compagnes dans la vie ascétique 

Saint Etienne le grand était le fils du prince Serbe Lazare de Serbie et de la princesse Militsa. Durant les terribles années du joug Turc, saint Etienne devint le grand bienfaiteur de ses concitoyens réduits en esclavage. Il bâtit la ville, construisit des églises et utilisa sa trésorerie pour aider les nécessiteux. Saint Etienne surpassa nombre de dirigeants par sa sagesse, sa charité et sa foi. Il fut le fondateur de magnifiques monuments monastiques à Manasija et Kalenich. Après de nombreuses oeuvres et épreuves, il mourut le 19 juillet 1427. 

Sainte Militsa, mère d'Etienne le roi de Serbie, elle était connue pour son esprit vif et sa vie pieuse. Elle fonda le monastère pour femme de Lubostina, dans lequel elle sera tonsurée sous le nom d'Eugénie. Elle mourut comme moniale du Schème le 11 novembre 1405.

Ste Justa et Ste Rufina (IIIe s.) à Séville en Espagne. Elles confessèrent le Christ en refusant díoffrir pour le culte díAdonis les poteries dont le prix était leur seul gagne-pain. Après de cruels tourments, sainte Justa mourut en prison et Rufina fut décapitée.

St Dios moine de Constantinople, admiré pour ses vertus et la sagesse de ses jugements par le patriarche Atique et le patriarche d'Antioche Alexandre. (+ 430)

St Ambroise Autpert : il fut d'abord officier de la cour de Pépin le Bref et précepteur du futur Charlemagne. Il embrassa la vie monastique à l'abbaye de Saint Vincent, dans le duché de Bénévent. Ecrivain très goûté au Moyen Age, il composa des oeuvres liturgiques et hagiographiques. (+ 778)
 

St Elie
Prophète

St Alexis
Medvedkov

St Athanase
de Bretsk

St Demetre
et Ste Marie

St Ilia
Chavchavadze

 

Saint Wulmer fondateur de l'abbaye de Samer

Saint Athanase hiéromartyr de Bretsk (1649) (Découverte des reliques)

Saint Ilia (Elie) Chavchavadze (+ 1907) 
 

L'icône de la Mère de Dieu « du Signe » "Tchoukhlomskaïa" ou "Galitchskaïa" (1350) (Autre commémoration en mai.) : saint Abraham de Galice priait  la Mère de Dieu, demandant Sa bénédiction pour ses labeurs. Après avoir prié, le moine s'assit pour se reposer et soudain, sur les côtés de la montagne, apparut une lumière brillante et il entendit une voix : "Abraham, vient sur la montagne, là tu trouveras une icône de Ma Mère". En effet, sur un arbre, il trouva une icône de la Mère de Dieu avec l'Enfant Pré-Eternel. Le saint ascète prit l'icône révélée et il construisit sur le lieu bénit une chapelle, en laquelle il plaça l'icône. Après un certain temps, le prince de Galice, Dimitrios Feodorovich, ayant apprit l'histoire lui demanda de lui apporter l'icône. Saint Abraham traversa à la rame le lac Galice et, accompagné du clergé et d'une grande foule, il apporta l'icône miraculeuse à l'église cathédrale de la ville de Galice. Ce jour-là, un grand nombre de malades furent guéris à travers cette icône. Quand saint Abraham expliqua l'apparition de l'icône, le prince offrit de l'argent pour bâtir un monastère. Une église en l'honneur de la Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu fut vite bâtie, autour de laquelle s'éleva un monastère. Par la suite, saint Abraham fonda plusieurs autres monastères, le dernier étant celui de Tchoukhloma, pas loin de la ville du même nom.

St Hilarion

 

St Symeon
d'Emese

Ste Salomé
de Géorgie

Sainte Sévère naquit au VIIe siècle, d'une illustre famille d'Aquitaine. Elle préféra les austérités et les privations du cloître à toutes les jouissances de la terre. Son frère Modoald la mit à la tête des religieuses du monastère de St-Symphorien qu'il venait de fonder sur les bords de la Moselle. Dans cette fonction, elle fut un modèle de toutes les vertus, et surtout d'humilité et de mansuétude. Pour cacher sa rare beauté, elle marchait toujours les yeux baissés et la tète inclinée. L'an 621, st Sulpice le Pieux demanda des religieuses pour un monastère qu'il avait dessein de fonder. Sévère, envoyée par son frère, fonda un monastère dit de Sainte-Gemme, dont les ruines, ensevelies sous terre, indiquent à peine aujourd'hui l'emplacement. La pieuse Vierge y passa environ 6 semaines. Quatre ans après elle mourut, comblée de mérites, dans la ville de Trêves. Des fidèles de Ville-Neuve, en apprenant sa mort, allèrent au monastère de Saint-Symphorien et rapportèrent des reliques de sainte Sévère. 

Saint Syméon d'Emèse, le Fou pour le Christ, et de son compagnon d'ascèse Jean
 

Ste Marie
de Magdala

Ste Marcelle
de Chios

St Phocas

Sainte martyre Marcella est l'objet d'un énorme respect sur l'île de Chios. Dans l'église qui lui est dédiée, des miracles ont lieu chaque année. D'après la tradition, Marcella était une jeune fille particulièrement pieuse qui, étant encore jeune, perdit sa mère. Son père, païen et bestial, voulut vivre avec sa fille comme remplaçant sa femme. Marcella s'enfuit de son père mais, lui, enragé comme une bête sauvage, l'attrapa et la hacha en morceaux. A proximité de son église on trouve quelques pierres qui de temps à autres se mettent à suinter le sang. Les gens prirent ces pierres, les amenèrent à l'église, prient sainte Marcella et les placent sur les malades, qui du coup se trouvent guéris.

Saint Cyprien de Suzdal :  le Fol-en-Christ par amour du Christ, était le portier de l'église de Voskresensk, près de la ville de Kovrov, dans le diocèse de Vladimir. Saint Cyprien se livra à son appel en silence sur une île près de l'embourchure des rivières Kliazma et Uvod. A sa mort, le 22 juillet 1622, le corps du saint de Dieu fut enterré près de l'église du village de Voskresensk. En 1751, des admirateurs diligents du saint ajoutèrent une chapelle à l'église, près de sa tombe, en honneur de la Protection de la Mère de Dieu. Sur l'icône originale du saint, on lit : "22 juillet, décès du saint juste Cyprien, fou par amour du Christ dans le village de Voskresensk et thaumaturge de Suzdal. Son apparence est foncée, les cheveux pendant sur les oreilles, une barbe fourchue comme (Saint Jean) le Théologien, des habits verts, les pieds nus, les mains levées en prière".

Saint Salvien, prêtre et confesseur (Ve siècle) : Serait né à Cologne. On ne sait s'il était né de parents Chrétiens mais il avait reçues les lumières de la Foi et il se distinguait par sa vertu et sa piété lorsqu'il fut engagé dans le mariage. On lui fit épouser une personne de mérite, mais encore païenne, nommée Palladie. Il se trouvait dans le cas où saint Paul recommande à celui des époux qui est fidèle de travailler au Salut et à la sanctification de l'autre. Ce fut pour satisfaire à cette obligation qu'il sollicita sa femme d'embrasser la foi de Jésus-Christ ; ce qu'il obtint. S'étant retiré de Marseille, il entra dans le clergé et son mérite le fit élever à la prêtrise. Les prélats, ses contemporains, le consultaient comme un excellent maître en théologie. 

Saint Wandrille, Abbé de Fontelle.
 

St Ezechiel
le prophète

Icône de la
Mère de Dieu
"Joie des
affligés"

Icône de la 
Mère de Dieu
de Potchaëv

Les martyrs de Bulgarie : En 811, l'empereur Nicéphore Ier le Logothète (802-811) tenta une attaque contre les Bulgares, voisins turbulents qu'il avait déjà attaqués en 807 sans succès. Il entra en Bulgarie avec une armée recrutée en Europe et en Asie. Le khan des Bulgares, Kroum, demanda vainement à négocier la paix mais son palais fut pris, pillé, livré aux flammes. Les "barbares" réussirent à cerner l'armée "chrétienne" dans une plaine marécageuse des Balkans et ce fut un massacre : l'empereur fut frappé à mort mais son fils Staurakios gravement blessé, put fuir jusqu'à Constantinople. L'annaliste Théophane écrivait : "Plaise au Ciel que les Chrétiens ne revoient plus jamais les tristes épisodes d'une semblable journée, pleine de deuil et de larmes!"

Les saints martyrs Trofime, Théophile et treize autres avec eux , souffrirent tous en Lycie durant le règne de l'empereur Dioclétien. Ne voulant en aucun cas renier le Christ ni offrir des sacrifices aux idoles, ils furent soumis à diverses tortures et furent jetés dans un feu. La puissance de Dieu les préserva tous, et ils demeurèrent intacts. Alors on les en sortit et on les décapita. Le Seigneur les glorifia tant sur terre que dans Son Royaume Céleste (308).
 

Sts Boris
et Gleb

Ste Christine
de Tyr

St Théophile
de Zakynthos

Saints Martyrs Boris et Gleb, nommés Romain et David au Saint Baptême

Saint Polycarpe, abbé du monastère des cavernes à Kiev, possédait "l'amour envers Dieu et envers son prochain, la joie d'une conscience sans tache, la paix du fait de la victoire sur toutes les passions, la patience au temps de la tentation et du malheur, la bonté dans la soumission à tous, la bienveillance envers le pauvre, une foi ne doutant pas pour accomplir les commandements, la vérité dans l'accomplissement de ses voeux, la douceur de ne pas connaître la colère, possédait la modérationÖ" Il gouverna si bien la Laure des Cavernes à Kiev qu'après sa mort, on parvint difficilement à trouver un digne successeur parmi les moines. Saint Polycarpe se reposa dans le Seigneur en 1182.

Saint Raven, prêtre, et Saint Rasiphe, diacre, martyrs : nés en Grande-Bretagne, ils furent chassés de leur patrie par le gouverneur de la province, à cause du zèle qu'ils mettaient à instruire les habitants de la contrée. Ils vinrent se réfugier dans un lieu désert nommé aujour'd'hui Macé (Orne), près de la ville de Sée. Ils vécurent là, couverts de peaux de bêtes et ne se nourrissant que de racines; bientôt leur sainteté se manifesta aux yeux des hommes, et un grand nombre de gens vinrent à leur ermitage. A cette nouvelle, le gouverneur de Neustrie envoya des satellites pour tuer les deux Saints. Ensevelis dans ce lieu désert par les Chrétiens, leurs corps restèrent longtemps cachés ; enfin, ils furent découverts miraculeusement et une église fut bâtie sur le lieu de leur sépulture. 

Saint Declan d'Ardmore, évêque et abbé : il fut baptisé par un disciple de st Colman. Il semble avoir été un évangélisateur Irlandais avant l'arrivée de St Patrick. On pense qu'il a fait deux pélerinages à Rome, et serait devenu par la suite évêque d'Ardmore. St Declan mourut dans la deuxième moitié du Ve siècle. Il fut enterré à Ardmore. On attribue nombre de miracles à Declan. En particulier, il aurait arrêté une grave peste par ses prières et jeûne. Il était un proche ami de saint David (patron du Pays de Galle) et, peut-être plus important, il a été en très bons termes avec Aengus, roi de Munster. Son influence fut dès lors considérable. Jusqu'à une époque récente, le jour de sa fête, la coutume populaire voulaient que ceux souffrant du dos crapahutent en dessous de sa dalle pour en obtenir quelque soulagement. 

Sainte Euphémie : Lorsque Barsiros, un des représentants de Dioclétien, passa sur la route, il y avait avec lui quelques saints prisonniers tenus par une chaîne en fer au cou, comme des chiens. Lorsque la sainte les vit, son coeur s'enflamma. Elle était attristée pour eux et elle pleura. Alors, elle maudit l'empereur, ses idoles, et admonesta le gouverneur en disant "O toi, là, avec ton coeur de pierre, n'as-tu pas compassion de ces saints hommes? Ou ne crains-tu pas que Dieu ne te détruise?" Le gouverneur se mit en colère et informa l'empereur de ce qu'elle avait fait et dit. L'empereur se la fit amener et la questionna sur sa foi. Elle confessa qu'elle était Chrétienne. Il la fit sévèrement torturer en la battant et la brûlant, jusqu'à ce qu'elle eût remit sa pure âme entre les mains du Seigneur.
 

St Anne
(Dormition)

Les 125 saints
pères du Ve 
concile

Ste Eupraxie

St Macaire
d'Oujensk

Ste Olympias

Cent soixante cinq Pères théophores réunis à Constantinople pour le Vème Concile Oecuménique 

Saints Martyrs de Lyon et de Vienne: Sanctus, Maturus, Attale et Blandine

Sainte Olympias la diaconesse (+ 408) : Née à Constantinople, elle connut st Grégoire le théologien et st Grégoire de Nysse. Après la mort de son époux, préfet de Constantinople, elle refusa un second mariage et consacra son immense fortune à édifier des hôpitaux pour les malades, des hôtelleries pour les pauvres et des monastères pour les religieuses. Elle-même vivait très pauvrement. Ordonnée diaconesse, elle fut la conseillère du patriarche st Nectaire puis de st Jean Chrysostome qu'elle défendit au moment de son exil. Ce qui lui valut de lourdes amendes et, comme son patriarche, une condamnation à l'exil qu'elle endura avec foi et patience. Sont parvenues jusquíà nos jours plusieurs lettres que st Jean Chrysostome lui adressa à cette époque. Elle mourut en exil, à Nicomédie.

Saint Macaire díOujensk (+ 1504) né à Nijni-Novgorod, il alla dans les régions finnoises, fonder un monastère. Quand les Tatars envahirent le pays, lui et les habitants furent emmenés en captivité sur les bords de la Volga, où ils implantèrent la ville d'Oujensk, qui s'appela également Makariev, en l'honneur de ce saint moine qui les avaient protégés.

Saint Magneric (VIe siècle) : Il fut le disciple et le successeur de st Nicetius (Nizier) comme évêque de la capitale mosellane. Nicetius fut exilé en 561 par Clotaire qu'il avait excommunié pour ses mauvaises moeurs. Magnéric ne voulut pas abandonner son père spirituel. Le roi Sigebert les fit revenir; il réintégra le prélat de probité si ferme. Il sut former des pasteurs de grande valeur. La tradition lui fait parcourir sans cesse son diocèse, veillant en effet aux moeurs, à la piété et aux études de son clergé.

Saint Cucufas : Originaire díAfrique, il fut victime de la persécution de Dioclétien pour avoir voulu vivre en fidèle disciple du Christ( IVe siècle) . Ses reliques furent apportées en Espagne et même en France où son nom se perpétue dans divers lieux de la région parisienne.

Saint Christophe de Solvychegod et Koryazhemka fut élève et novice sous saint Longin, higoumène du monastère deKoryazhem. Après la mort de son professeur, st Christophe resta vivre 10 ans dans ce monastère, puis il partit pour les hauts affluents du grand Koryazhem, où il vécut dans la solitude. Quand des novices commencèrent à se rassembler autour de lui, saint Christophe fonda un monastère et y bâtit une église en l'honneur de l'Icône Hodighitria de la Mère de Dieu, qu'il avait emmenée avec lui, et de laquelle nombre reçurent des guérisons. Le monastère de st Christophe fut célèbre pour la stricte ascèse de vie de ses résidents, et aussi pour une source guérisseuse, par laquelle Anastasia (1457-1460), épouse d'Ivan le Terrible (1533-1584) reçut guérison de sa maladie. En 1572, st Christophe quitta le monastère et s'installa secrètement en un lieu inconnu. On pense que st Christophe est mort entre 1572 et 1582.
 

St Jacques 
d'Alaska

Ste Parascève

 

Saint Gérontios s'établit sur la Sainte-Montagne pour y pratiquer une vie toute semblable à celle des Pères du Désert, dans la skete de Saine-Anne, près du monastère de Saint Pantéleimon. Sa tradition se perpétuait encore au XVIIème siècle.

Saint Urse (Ours) septième évêque de Troyes et confesseur (426) :  il succéda à Aurélien, mort en 426. Comme le bon Pasteur qui veut connaître ses brebis et en être connu, il parcourait les paroisses, semant partout la Parole de Dieu, distribuant les grâces des Sacrements et faisant bénir le Nom du Seigneur. Mais pliant déjà sous le poids des années et des infirmités, il ne pût supporter les fatigues prolongées de courses si laborieuses, st Urse ne revit pas sa ville épiscopale. Il mourut l'année même de son élection, à Queudes près de Sézanne. Son corps fut renfermé dans un sépulcre de marbre richement orné; il y reposa jusqu'à ce qu'on le transportât à Troyes, où l'église cathédrale et la collégiale de St-Etienne en possédaient une partie considérable avant la révolution française.

Sainte Christine, vierge, patronne de Termonde dans le diocèse de Gand (VIIe siècle)

Saint Moïse le Hongrois

Sainte vierge et Martyre Parascève de Rome
 

St Clément
d'Ochrid

Sts Georges,
Félix et Natalie

St Nahoum
d'Ochrid

St Panteleimon

Saints Georges, Félix, et Aurèle, Saintes Natalie et liliose, martyrs en 852

Sainte Anthuse (Anthusa ou Anthouse) : Après une longue vie d'ascète solitaire, Anthusa fonda un couvent pour 90 moniales. A l'époque de la controverse Iconoclaste, sous Constantin Copronyme, les 90 moniales furent massacrées, et ensuite ste Anthusa elle-même mourut, en 758.

Saint Nicolas Konchanov le Fol-en-Christ de Novgorod (+ 1392) naquit dans une famille riche et illustre de Novgorod. Dès son plus jeune âge, il aima la piété, allant avec foi à l'église, aimant le jeûne et la prière. Voyant sa vie vertueuse, les gens commencèrent à le louer. Saint Nicolas, dédaignant la gloire des hommes, commença le difficile exploit de la simulation de la folie par amour du Seigneur. Habillé de loques, il parcourait la ville par un froid terrible, endurant les coups, les insultes et les moqueries. Saint Nicolas et un autre Fol-en-Christ de Novgorod, saint Théodore, se prétendirent être des ennemis irréconciliables, et démontrèrent ainsi analogiquement au peuple de Novgorod le caractère pernicieux de leurs luttes fratricides. Le Seigneur glorifia saint Nicolas avec le don des miracles et de la clairvoyance. A sa mort, saint Nicolas fut enterré à la fin du cimetière près de la cathédrale Yakovlev. Les reliques de saint Nicolas reposent dans une crypte de l'église du Grand Martyr Panteleimon qui fut bâtie au-dessus de sa tombe.

Saint Clément díOchrid premier Evêque de Bulgarie

Saint et Grand-Martyr Panteleimon, et de l'Aveugle qui, guéri par lui, périt par le glaive.
 

Ste Irène
de Cappadoce

St Nicanor

St Paul
de l'Athos

St Pitrim
de Tambov

Saint Moïse le Thaumaturge (XIIIe-XIVe siècle)  vécut en ascète dans la Laure des Cavernes de Kiev, cavernes lointaines. Il portait des chaînes et une lourde croix en cuivre. Le moine reçut le don de faire des miracles.

Mère Irène de Cappadoce, qui pratiqua l'ascèse au Monastère de Chrysobalanton.

Saint Samson, Evêque de Dol 
 

	L'icône de Tendresse de Sérafimo-Divéyévo (Russie 1885). L'Icône de la Mère de Dieu "Tendresse" de Seraphim-Diveyevo appartenait à saint Séraphim de Sarov, et fut son icône de cellule. Avec l'huile de la veilleuse qui brûlait devant cette sainte icône, le saint oignait le malade, qui recevait la guérison après l'onction. L'ascète mourut alors qu'il était en prière devant l'icône le 2 janvier 1833. Après la mort de saint Séraphim de Sarov, le supérieur du monastère, le père Niphon, donna la sainte icône "de Tendresse" aux soeurs du monastère Seraphim-Diveyevo.
	L'icône de la Très Ste Enfantrice de Dieu de Griebnia (1380) . Elle était déjà miraculeuselorqu'elle fut apportée à Moscou par le Grand prince Dimitri Donskoï après la victoire sur Mamaï en 1380.
	L'icône de Notre Toute Sainte Souveraine Mère de Dieu "Qui montre le chemin" ("Hodighitria"), transférée de Constantinople à Smolensk en 1046.  Les icônes de la Mère de Dieu inspirées de l'icône de Smolensk :  "Oustioujenskaïa " (1290), "Vydropouskaïa " (XVe siècle), "Khristoforovskaïa " (XVIe siècle), "Soupralskaïa " (XVIe siècle), "Voroninskaïa " (1524), "Siedmieziernaïa " (XVIIe siècle), "Iougskaïa " (1615), "Igritskaïa " (1624), "Sergueivskaïa " (1730), "Chouiskaïa" (1654-1655). et l'icône de la Mère de Dieu de Kostroma .

St Callinique

St Eustathe
de Géorgie

Sts Callinique
et Theodota

Ste Séraphina
d'Antioche

 

Saint Martyr Callinique de Gangres. 

Saint Roman de Kirzhachsk (+ 1392) fut un disciple de saint Serge, higoumène de Radonège. Sts Serge et Roman bâtirent une église dans les forêts de la gouvernance de Vladimir, près de la rivière Kirzhach, en l'honneur de l'Annonciation de la Très Sainte Mère de Dieu, et établirent un nouveau monastère (en 1371). Trois ans plus tard, avec la bénédiction de st Alexis, métropolite de Moscou, st Serge retourna au monastère de la Trinité, et st Roman demeura à la tête de ce monastère du désert nouvellement créé. Ordonné à la prêtrise par st Alexis, le nouveau supérieur du monastère de l'Annonciation accomplit avec grande ferveur les préceptes de son père spirituel et enseignant, St Serge. Zèlé ascète, enseignant bon et exigeant, st Roman fut un exemple pour tous les frères. Le st mourut le 29 juillet 1392, et fut enterré au temple de l'Annonciation. 

Saint Loup, Evêque de Troyes
 

Ste Angelina
de Serbie

St Jean
le soldat

St Silas

Saint Tatwin, évêque de Canterbury  fut décrit par saint Bède  comme un homme de remarquable prudence, de dévotion et de science. Sur la recommandation du roi Ethelbald de Mercie, Tatwin fut choisit comme archévêque de Canterbury en 731. Ensuite, Tatwin sacra des évêques pour Lindsey et Selsey. Tatwin fut enseveli à l'église de l'abbaye de Saint-Augustin à Canterbury. Après sa mort, le 30 juillet 734 des miracles eurent lieu par son intercession. Tatwin a laissé plusieurs ouvrages, dont des "Enigmes", consistant en 40 acrostiches. 

Saints Apôtres: Silas, Silvain, Epénète, Crescens et Andronique.
 

St Arsène

St Benjamin
de Petrograd

St Eudocime
le juste 

Saint Joseph d'Arimathie

Saint Neot de Cornouailles, ermite : Mort vers 877-880. Selon la tradition, saint Néot fut un moine à Glastonbury, et un prêtre, qui devint ermite en Cornouailles à l'endroit qui porte à présent son nom. Ses reliques furent ensuite emportées à Saint-Neot en Huntingdonshire. Dans l'art, Saint Neot est un vieux moine avec un bâton de pélerin et un chapeau. Il être assis avec ses pieds dans une mare, avec une biche fuyant vers lui pour chercher sa protection Neot est vénéré à Glastonbury, Malvern et Saint-Neot (Cornouailles)
 

Procession
de la Sainte
Croix

Sts frères
Maccabés

Ste Solomonie

 

Sept frères Maccabés: Abim, Antoine, Gourias, Eléazar, Eusébon, Alim (ou Samonas) et Marcel, de leur mère Solomonie, et de leur maître, le scribe Eléazar

Saint Ethelwold (+ 984)
 

St Basile
Fol-en-Christ

 

St Etienne

 

Saint Bohaire (vers 623)

Sainte Etheldritha de Croyland, moniale et vierge : Morte en 834. Etheldritha était une des filles du roi Offa de Mercie, et de sa reine, Quindreda. Elle fut fiancée au roi Ethelbert de l'Est Anglie. Ayant voulu consacrer toute sa vie au service de Dieu, elle quitta la cour et s'établit vers 793 dans une petite cellule sur l'île Croyland, dans les marais désolés du Lincolnshire. Elle y vécut en recluse durant 40 ans, se dévouant aux prières incessantes et aux pratiques de la vertu Chrétienne. Nombre de miracles ont attesté son éminente sainteté, cependant, elle fut surtout connue pour son don de prophétie. Sa tombe était parmi celles entourant la tombe de saint Guthlac, mais ses reliques furent perdues durant les ravages des Danois, quand ils détruisirent l'abbaye de Croyland en 870. 

Transfert des Reliques du Saint Premier-Martyr et Archidiacre Etienne